tag:blogger.com,1999:blog-8131890369987230563.post3928460953342405748..comments2022-03-27T13:52:22.782+02:00Comments on ædificavit: Dans la forêtUnknownnoreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-8131890369987230563.post-64723530946107190652009-08-09T20:16:50.199+02:002009-08-09T20:16:50.199+02:00Le cavalier mélancolique de Dürer aurait-il croisé...Le cavalier mélancolique de Dürer aurait-il croisé, sur un chemin de traverse, ou un de ces chemins qui ne mènent nulle part, sinon au plus profond de la forêt, le voyageur perdu de Descartes ? Il faudrait imaginer leur dialogue, l’un sans espoir de retour, jeté par l’ouragan dans le dés-espoir, errant sans fin, perdu sans fil qui le tienne et le guide et le reconduise chez lui, abandonné à sa désespérance et l’autre, le même, son égal, son frère, dont la seule différence est de s’être agrippé à la certitude que sa volonté toute puissante le sauvera de l’errance. S’ils se sont croisés, ils se sont reconnus, chacun perdu, l’un dans ses rêveries, l’autre dans sa tension extrême, ils se sont reconnus. Peut-être ont-ils cheminé un moment ensemble. Je comprends la tension de la volonté, moins celle de l’errance et de l’abandon, et du dés-espoir. Je le suivrai un jour, lasse des efforts contradictoires de la volonté. Lasse de la volonté tendue comme la corde d’un arc sans but à atteindre. J’aimerais le suivre et comprendre pourquoi, dans une forêt, je me sentirais plus proche du chevalier mélancolique, je suivrais ses pas, et me fondrais dans le silence.yzabel2046https://www.blogger.com/profile/14700843647428688691noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8131890369987230563.post-33612702177962842542009-08-07T22:45:52.973+02:002009-08-07T22:45:52.973+02:00quelque part entre le chevalier mélancolique de Du...quelque part entre le chevalier mélancolique de Durer et l'inexistant de Calvino je l'imagine dans ce monde à la frontière de l'inconscient nous raconter sa plongée, certes je n'y comprends rien, trop complexe ou compliqué puis ce dégage de ce monde une image , est ce lui , la perception ou le ressort vital , est ce le monde cette foret décidément germanique, est une question de l'existence qui inlassablement se resserre autours d'une pression existentielle quand tout s'efface ou s'estompe, ou ne demeure plus qu'une volonté, cauchemardesque et banale friction d'être en vie, malgré tout ce qui malgré tout ; même indéfinissable existe , un personnage à la Chandler ou a la Hammett frottant une allumette pour rallumer ce peu d'espérance sous un réverbère sous la pluie , malgré out très réaliste dans ce halolamber Savihttps://www.blogger.com/profile/15015330047258614794noreply@blogger.com