tag:blogger.com,1999:blog-8131890369987230563.post4605551420303896488..comments2022-03-27T13:52:22.782+02:00Comments on ædificavit: Vanités…, VIIIUnknownnoreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-8131890369987230563.post-41327150922814040072010-02-03T23:40:28.675+01:002010-02-03T23:40:28.675+01:00Quant à moi, je n'ai pas cessé d'écrire de...Quant à moi, je n'ai pas cessé d'écrire de longues lettres. J'y colle des tableaux en miniature. Et puis je les envoie dans des pays lointains, très lointains... là-bas vers l'Occident. Et je chéris le délai qu'elle prennent pour arriver : des semaines.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8131890369987230563.post-39591235277764506202010-01-17T19:21:54.429+01:002010-01-17T19:21:54.429+01:00Les missives électroniques sont en effet des plus ...Les missives électroniques sont en effet des plus froides. Ceci dit, je n'efface jamais rien. Et par hasard, les jours où il me prend l'envie incongrue de classer (ces jours se comptent sur les doigts d'une seule main), je relis les anciens courriers. Souvent, je retrouve des mots jaunis, des mots qui rappellent, des mots qui n'ont plus le même sens. Une obsolescence qui sent bon.Christophe Sanchezhttps://www.blogger.com/profile/03977978411346138342noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8131890369987230563.post-66230291777965455302010-01-15T11:04:16.900+01:002010-01-15T11:04:16.900+01:00j'étais las, le mot de "lissitude" m...j'étais las, le mot de "lissitude" m'est venu, avec ce regret de la douceur du temps qui jaunirait ces lettres, j'ai haï cet écran,censé lier et puis si lisse! nostalgie de la troisième dimension, l'épaisseur, la perspective. Suis passé sur ce gongorisme de la pavane mutique, sur quelque chose ici que je n'aimais pas, mais la froideur insensible en contraste avec ce tableau m'a convaincu,stylistiquement...car pour le reste cette blonde coquette du tableau ne m'a jamais ému, préférant la mère qui épouille sa fille, la confiance de l'enfant agenouillée, sa tête posée sur les cuisses de sa mère, les tomettes mordorées, le chat qui regarde par la fenêtre ouverteAnonymousnoreply@blogger.com